24 janvier 2014
Time after time, Alfred Hitchcock, Roger Corman's Fantastic 4, Zardoz et toutes ces sortes de choses
Glânés au fil de mes errances sur le web, quelques réminiscences de mes amours cinématographiques.
Zardoz
Trouvé sur le blog Space1970, un article qui rassemble les affiches internationales de Zardoz, chef-d'oeuvre du bizarre SF des années '70 et showcase du plus beau velu incontesté de la planète. Lorsque celle que j'aime insiste trop pour que je laisse pousser mes poils, je la menace de revêtir le même mankini rouge que Sir Sean.
Time after Time
HG Wells pourchassant Jack l'Eventreur dans le San-Francisco de 1979 grâce à la machine à remonter le temps. Voilà le postulat formidable d'un des films préférés de mon enfance. Il m'arrive encore de rêver à la séquence du voyage dans le temps portée par la musique emphatique de Miklos Rosza. En revoyant la bande-annonce, j'ai l'impression que Time After Time a contribué à façonner deux facettes de ma personnalité tiraillée entre la maladresse de Wells et l'assurance cynique de l'Eventreur. David Warner en Jack était particulièrement glaçant. A l'époque, bien avant son apparition monolithique dans Titanic, sa présence suffisait pour donner le ton d'un film. David Warner était un genre à lui tout seul.
Alfred Hitchcock parle de The Birds
Hitch aimait à se donner des airs de gugusse, mais avait une vision très noire et distanciée du monde qu'il distillait tout en flegme et en understatement britannique au fil des interviews.
Roger Corman's Fantastic 4
C'était le temps où les droits d'adaptation Marvel étaient encore distribués comme des bonbons à qui voulaient les prendre. En 1994, Roger Corman produit une adaptation des Fantastic 4 avec un budget rikiki et beaucoup d'esbrouffe. Ca donne un nanar tellement mauvais qu'il est excellent, entouré encore aujourd'hui d'un culte persistant. 0n vient même de produire un documentaire sur sa fabrication môdite. Et oui: ce chef-d'oeuvre a bien failli ne jamais voir le jour.
D'ailleurs, pour ceux qui ne l'auraient point vu voici le film complet.
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