31 mars 2013

Trolls et Légendes 2013



Tous les deux ans, nous nous rendons à Mons pour Trolls et Légendes dont nous sommes toujours revenus ravis. Pas en 2013. Victime de son succès de foule et plombé par un hiver persistant, le Festival a mis notre plaisir et notre patience à rude épreuve.

Arrivés à 11h15, nous nous sommes retrouvés devant une file de 200 mètres au moins que nous avons coupée sans scrupule en rejoignant la Princesse et son Prince qui se les gelaient déjà depuis pas mal de temps ("oui, bien sûr, nous sommes un groupe").

un aperçu de la file, plus tard, c'était pire encore
A l'intérieur, c'était la cohue des files d'attente mélangées : devant les stands, devant les bars, devant les dessinateurs. Impossible de profiter des boutiques, de boire peinard, de papoter avec les invités.
L'ambiance s'est encore alourdie quand on a découvert qu'on refusait du monde à l'entrée. Moi-même, sorti à 17h50 pour ramener une amie à la gare, je me suis vu refuser l'entrée à 18h05 sous prétexte "qu'aucune entrée n'était permise entre 18h00 et 20h00 heure du concert", même pour ceux qui avaient déjà payé, avaient un cachet, un bracelet... Il a fallu gueuler en groupe, faire venir le chef, obtenir un passe-droit énervé. C'était moche. Je ne sais pas comment un "on ferme les caisses à 18h00" s'est transformé en "tout le monde reste enfermé à partir de 18h00". En tous cas, on a bien senti que l'orga pédalait dans la choucroute.

Cela dit, nous avons passé de bons moments grâce à nos amis sur place. Et ça même le pire chaos n'aurait pas pu nous le retirer.

Avec tout ça, je n'ai pas pu prendre autant de photos que je voulais: pas de recul, pas de place, pas de mood. Je me suis débrouillé comme j'ai pu. Vous pouvez en voir quelques unes sur mon compte Instagram repris sur FacebookTwitter et Google+ (utilisez #trollsetlegendes).

Je n'ai pas pu non plus observer les dessinateurs au travail, ni me poser sereinement avec mon carnet.

Cosplay

un faune jaune
la buse Gipsy et son maître
un druide

un mage blanc (Gandalf a pris quelques rides)
ni troll, ni légende: entre manga et steampunk (plus une touche de SuicideGirl)
un chapelier fou

Les boutiques

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