J'ai demandé à celle que j'aime de me photographier de face et de profil à un moment où j'étais le moins ragoûtant: au réveil, sans tension musculaire, couvert de poils sauvages. Je me suis bien stabilisé sur mes pieds et j'ai tout laissé tomber. Ventre, épaules, menton. Flatch.
Le résultat était... terrible. Je minimise le choc en pensant qu'il y a 5 ans, c'était pire. Néanmoins, il y a du boulot.
Or donc, voici le moment que vous attendez tous: les photos! Roulement de tambour et TADAAAAAAAAAAAA!
Horrible n'est-ce pas? On remarque immédiatement les nombreux chantiers à ouvrir:
- la peau, si blanche et si facilement irritable
- le double menton
- les épaules, larges mais pas assez rembourrées (j'ai l'air d'un ballon suspendu à un cintre)
- les bras, trop fins et sans force
- les pectoraux, inexistants
- les abdominaux, l'Arlésienne... mais je vous promets qu'un jours, je les verrai
- la didine, elle est réapparue récemment et prend un peu trop ses aises
Je l'ai trouvé mais, mais, mais, mais je ne le révèlerai pas ici, ou disons pas maintenant, ou pas pour rien (tarif en bisous négociable mais très élevé).
Combien de bisoux velus pour voir ce modèle ?
RépondreSupprimerPerso, je me tiens sur un pied en regardant la télévision et j'effectue x mouvements de la jambe libre: une série en avant, une en arrière, une dernière sur le côté.
RépondreSupprimerPour une même direction, j'alterne les jambes.
Le nombre de mouvements est adapté à ma capacité: les deux premiers quarts du total sont faciles, le troisième quart devient difficile, le dernier est très difficile.
Pendant des mois, j'ai suivi ce protocole les jambes tendues, jusqu'au jour où je suis arrivé à 300-400 mouvements par jambe. Je devenais fou à compter aussi souvent des centaines de fois. Depuis deux mois, j'effectue les mêmes mouvements en me tenant sur une jambe fléchie. J'arrive aujourd'hui à 180-200 mouvements par jambe, par côté.
Je ne dois pas sortir dans la froidure et je n'empeche personne de regarder la télé avec la WII ;0)
RépondreSupprimerAvant de me coucher, je fais des pompes. Pendant un an, j'ai progressé, en passant de 6 à 40 pompes sur deux mains.
Ensuite, je suis passé aux pompes sur un bras, avec une demi flexion, jusqu'à atteindre 20-30 pompes par bras.
Depuis 2-3 semaines, je continue sur un bras mais je démarre entièrement couché sur le ventre. J'atteinds maintenant 10-12 pompes.
Tout ce tralala à solidement renforcé le maintien de ma colonne, en musclant en profondeur le bas du corps qui est la base clé pour la colonne. Cela fait travailler le cardiologue et oblige à respirer profondément, ce qui a un effet bénéfique radical sur les tensions dues aus stress