22 avril 2013
Abandonedography
Abandonedography (ex-abandonedporn) fait partie de mes visites web quotidiennes. J'ai profité d'une visite au Chââââteau de la Princesse pour imiter ces photos à ma manière. D'ailleurs, je suis à la recherche de lieux similaires pour organiser des shootings. Si vous en connaissez, envoyez moi un petit mot par un des innombrables réseaux sociaux que je squatte sans honte.
19 avril 2013
Lass Suicide (#NSFW)
Poursuivons dans ma fixette sur les rousses avec cette beauté écossaise. J'ai découvert Lass Suicide via SuicideGirls.com, chacun de ses sets est un enchantement. Particulièrement le dernier - Schools Out (payant): la chevelure, le blouson en cuir, la classe abandonnée... Que du bonheur.
Je suis aussi tombé sur elle par hasard sur Viméo. Puis soudainement, sans trop comprendre pourquoi ou comment, je me suis mis à la suivre sur Twitter et Instagram.
Lass Suicide: Suicide Girls - Etsy - Twitter - Instagram
Je suis aussi tombé sur elle par hasard sur Viméo. Puis soudainement, sans trop comprendre pourquoi ou comment, je me suis mis à la suivre sur Twitter et Instagram.
Lass Suicide: Suicide Girls - Etsy - Twitter - Instagram
8 avril 2013
Saul Bass (et moi)

Presqu'un an après avoir reçu Saul Bass: A Life in Film & Design
Je connaissais uniquement Saul Bass pour ses célèbres collaborations cinématographiques et Phase IV, son seul long métrage. Ce livre m'a fait découvrir ses story-boards, ses courts-métrages régulièrement oscarisés, ses photos, ses publicités, et son travail aussi magistral que peu connu de créateur de corporate identity (on lui doit notamment la ligne graphique de Minolta et d'AT&T).
Au-delà de la collection de documents et d'anecdotes, j'ai découvert l'homme, sa personnalité ouverte, sa méthode et le plus important: sa vision.
J'avais une impression totalement erronée sur sa carrière. J'imaginais que tout tournait autour du cinéma, avec la publicité comme complément. J'avais faux sur toute la ligne. Et croire qu'il aurait suffit d'inverser l'importance des deux media pour mieux comprendre est tout aussi faux. Saul Bass était un pur designer. Il aurait aussi bien pu exercer dans d'autres carrières, le medium n'était que le moyen technique pour exprimer la vision.
En découvrant cette perspective sur sa carrière, je n'ai pas pu m'empêcher de questionner la mienne.
Je n'ai jamais caché que je fais de l'informatique pour payer mes factures. Et jusqu'à présent, je n'y ai pas changé grand chose.
Depuis peu, j'ai initié un changement actif. Alors que je me remplis de lectures consacrées à la réorientation de carrière (notamment Business Model You
Saul Bass sur le Web: imdb - Saulbass.tv - Design Museum.
Quelques exemples du travail cinématographique de Saul Bass:
Casino
Psychose
Phase IV
Why man creates
3 avril 2013
Dream job: le making of
Depuis la création de MTLM, je rêve de le faire voyager dans l'espace. Ce dessin de commande lié à mes questionnement professionnels actuels est tombé au bon moment.

J'étais tellement concentré sur mon dessin que j'en ai laissé tomber ma douche, ma tonte de barbe et mon fitness.
Evidemment, j'ai rouvert mes Calvin & Hobbes
pour l'insipiration. J'ai aussi lorgné du côté de Jack Kirby
qui n'a pas son pareil pour ses rendus du cosmos en pur noir et blanc.
L'idée est venue très rapidement. Et le gribouillis pour distinguer les contrastes n'a pris que quelques minutes.
Comme le dessin était une commande, j'avais une obligation de délai et de résultat. Ce genre de contrainte me torture, certes, mais a déjà prouvé son efficacité. J'ai concentré tous mes efforts sur le crayonné que je voulais impeccable et sur les essais de détails que vous avez vu passer sur Instagram. L'encrage ne pouvait laisser aucune place à l'impro.
Comme le dessin était une commande, j'avais une obligation de délai et de résultat. Ce genre de contrainte me torture, certes, mais a déjà prouvé son efficacité. J'ai concentré tous mes efforts sur le crayonné que je voulais impeccable et sur les essais de détails que vous avez vu passer sur Instagram. L'encrage ne pouvait laisser aucune place à l'impro.

J'étais tellement concentré sur mon dessin que j'en ai laissé tomber ma douche, ma tonte de barbe et mon fitness.
La réalisation finale aura duré 6 heures. Et c'est le fond qui a pris le plus de temps. L'Univers, ce n'est pas rien.
L'image publiée n'est pas tout à fait l'effet que je voulais obtenir. Ce n'est pas le dessin qui est en cause, mais le traitement scan qui reste une opération difficile. Bizarrement, la combinaison scanner + photoshop a donné des résultats moins satisfaisants en 1 heure que JotNot Pro pour iPad
en 3 minutes.
Le résultat final est ici.
L'image publiée n'est pas tout à fait l'effet que je voulais obtenir. Ce n'est pas le dessin qui est en cause, mais le traitement scan qui reste une opération difficile. Bizarrement, la combinaison scanner + photoshop a donné des résultats moins satisfaisants en 1 heure que JotNot Pro pour iPad
Le résultat final est ici.
Inscription à :
Articles (Atom)