25 janvier 2012

Timeline

Je viens passer 3 semaines entières à revoir tout mon contenu Facebook après avoir pris l'initiative (désastreuse) d'activer la Timeline sur mon profil.

L'horreur. Pas un problème de clarté et de qualités esthétiques du machin (ça se discute... moi j'aime). Mais un effet de bord dans la confidentialité qui mériterait qu'on pende les développeurs par les pieds avec leurs propres trippes.

Toutes les limitations de visibilité que j'avais imposées à mes posts afin de bien séparer mes communications professionnelles des autres ont sauté. En une fois, mes patrons et collègues ont pu lire mes commentaires farfelus, explorer ma passion pour les films nazes et les femmes à poil. Heureusement, les dommages étaient limités, je ne suis pas adepte de la photo à poil avec mon slip sur la tête (quoique la rumeur parle d'une hélice de ventilateur et... mais je m'égare).

Après  des heures de jurons et la visite frénétique de plusieurs forums, une seule solution s'est imposée: revoir l'existence et/ou la confidentialité de chaque post individuel depuis mon inscription à Facebook le 25 juin 2008.

Dans les jours fastes j'ai posté jusqu'à 30 fois, ceci explique les 3 semaines que je viens de passer.

Notez que tout emmerdement apporte son avantage. J'ai pointé exactement le moment où j'ai freiné d'un coup sec pour le blog, la bd, le sport et ma vie sociale. C'était en octobre 2010, mois où j'ai changé de fonction au boulot. Maintenant, je sais où frapper pour remettre tout en route.

J'ai aussi découvert que le commentaire standard que j'ai le plus utilisé est "oui, hein, dis". Mais ça tout le monde s'en fout.

4 commentaires:

  1. Quand je suis passée à la timeline, je me suis largement auto-congratulée d'être aussi peu "partageuse" sur FB... Je n'ose imaginer ton calvaire... enfin, si, celui-que-jaime y est passé aussi, mais il a la chance de moins publier de fâmâpoâl (non, qu'il ne les apprécie pas hein, soyons clairs sur ce point, si, si, c'est important).

    Quand au commentaire standard, le mien est pire, je cite :

    :-)

    J'ai honte.

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  2. C'est la raison pour laquelle je me maintiens sur Google+ alors que j'y ai encore peu de contacts; ce genre de problème ne s'y envisage même pas. Un jour, FB fera la connerie de trop et je vous y accueillerai les bras ouverts.

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  3. Très cher, j'ai twitter pour ça ;-)

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  4. Twitter n'attaque absulument pas le problème de la confidentialité. C'est tout ou rien, 'co pire que FB :D

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